Mohammed Ennaji, écrivain et historien, est professeur à l’Université Mohamed V, Rabat. Ses ouvrages sur le pouvoir, le religieux, les rapports sociaux, font référence sur le plan international. Parmi ses publications : « Le Makhzen et le Souss al-Aqsa, la correspondance politique de la maison d’Iligh » (CNRS, 1988), « Soldats, domestiques et concubines » (Balland, 1994), « L’amitié du prince » (Casablanca, 2005), « Le sujet et le mamelouk, esclavage et religion dans le monde arabe » (Mille et Une Nuits, 2007), « Incursions profanes » (Casablanca, 2011), « Le fils du prophète » (La Croisée des chemins, 2014), « Ma page facebook, une quête identitaire » (La Croisée des chemins, 2015), « L’obélisque du calife » (Falia, 2016).
"Le corps enchaîné, Comment l’Islam contrôle la femme", La croisée des chemins, 2018.
Au -delà du rapport du Coran à la femme qu’on retrouve le long du texte, au-delà de la représentation islamique finement décrite d’un corps féminin diabolisé ainsi que du statut quasi servile de la femme, le livre aborde des questions taboues, se rapportant à l’institution des « mères des croyants ». Il en dévoile les non-dits en décryptant le texte sacré selon une démarche nourrie par les sources les plus autorisées. Comme le souligne l’introduction « le thème profond de ce livre est la contestation féminine à la naissance de l’islam et la façon dont les textes religieux, Coran et Sunna, l’ont étouffée et ligotée, en un mot enchaînée ». Mohammed Ennaji « n’a pas froid aux yeux » dans son approche du sacré, l’expression est de Régis Debray dans sa préface à un autre titre du même auteur. Elle se vérifie à nouveau dans Le corps enchaîné.
Entrée libre - Médiathèque
"Le corps enchaîné, Comment l’Islam contrôle la femme", La croisée des chemins, 2018.
Au -delà du rapport du Coran à la femme qu’on retrouve le long du texte, au-delà de la représentation islamique finement décrite d’un corps féminin diabolisé ainsi que du statut quasi servile de la femme, le livre aborde des questions taboues, se rapportant à l’institution des « mères des croyants ». Il en dévoile les non-dits en décryptant le texte sacré selon une démarche nourrie par les sources les plus autorisées. Comme le souligne l’introduction « le thème profond de ce livre est la contestation féminine à la naissance de l’islam et la façon dont les textes religieux, Coran et Sunna, l’ont étouffée et ligotée, en un mot enchaînée ». Mohammed Ennaji « n’a pas froid aux yeux » dans son approche du sacré, l’expression est de Régis Debray dans sa préface à un autre titre du même auteur. Elle se vérifie à nouveau dans Le corps enchaîné.
Entrée libre - Médiathèque
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